Quotes on Mère

2001Une mère, c’est un don de Dieu

Taha-Hassine FERHAT
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2008Une vie sans mère est une mer sans vie

Taha-Hassine FERHAT
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1969Trois femmes ont toujours émergé dans la vie d’un homme : la mère, l’épouse et la fille

Taha-Hassine FERHAT
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1925Tous les humains naissent d’un père et d’une mère, sauf Adam et Eve

Taha-Hassine FERHAT
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1917Tellement la vie est éphémère qu’elle est belle

Taha-Hassine FERHAT
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1887Sous l’infini de l’univers, la nuit nous rappelle que nous ne sommes que des poussières d’étoiles, suspendues entre l’éternité du ciel et l’éphémère de nos vies

Taha-Hassine FERHAT
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1864Si on devait définir une affection par une intensité, qui pourrait égaler la compassion, la tendresse et le sacrifice d’une mère envers ses petits ?

Taha-Hassine FERHAT
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1848Si l’homme est éphémère, c’est que le monde, dans lequel il vit, l’est aussi

Taha-Hassine FERHAT
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1837Seule l’image a le pouvoir de suspendre le vol implacable du temps, immortalisant l’éphémère dans uneéternité visuelle

Taha-Hassine FERHAT
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1768Quelle belle métaphore que de rapprocher l’unicité de la mère et la pluralité des enfants avec l’unicité de Dieu et la pluralité des créatures

Taha-Hassine FERHAT
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1757Quand le temps trahit ceux qui l’habitent, où fuir sinon dans la mémoire, loin de la médiocrité et de son époque, lã où l’éphémère cède place ã l’éternité des souvenirs

Taha-Hassine FERHAT
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1701Pour l’homme, avoir deux mères, c’est une chance : la mère biologique et la terre de naissance

Taha-Hassine FERHAT
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1672Plus fort que l’absence d’une mère, c’est ne pas la connaître

Taha-Hassine FERHAT
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1655Pauvre enfant dont la mère fut une ombre furtive, effleurée ã peine avant que la vie ne l’arrache ã ses bras, laissant une plaie béante que ni les années ni les sourires n’ont jamais pu panser

Taha-Hassine FERHAT
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1656Pauvre enfant dont la mère fut une ombre furtive, effleurée ã peine avant que la vie ne l’arrache ã ses bras, laissant une plaie béante que ni les années ni les sourires n’ont jamais pu panser

Taha-Hassine FERHAT
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1612Nul ne peut m’inciter ã haïr ma mère, fût-il mon père

Taha-Hassine FERHAT
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1616Ô rose éphémère, ta beauté s’est étiolée dans les bras de l’infini, tes pétales emportés par le souffle impitoyable du temps, retournant ã la poussière originelle

Taha-Hassine FERHAT
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1588Ne pas connaître sa mère, c’est manquer un mot ã son lexique : maman

Taha-Hassine FERHAT
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1592Ne peut sentir l’absence d’une mère que celui qui l’a perdue

Taha-Hassine FERHAT
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1552Mère, j’oublie, toujours, que je suis mère pour être, d’abord, ta fille

Taha-Hassine FERHAT
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1534Louons ces mères, guerrières au coeur tendre leur amour infini, impossible ã comprendre don divin de Dieu, source de notre vie, une mère est un trésor qu’on chérit ã l’infini

Taha-Hassine FERHAT
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1462Les nuages, en voilant le ciel, rappellent que l’éphémère ne masque jamais l’infini

Taha-Hassine FERHAT
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1373. Le summum du courage n’est pas, uniquement, l’apanage de l’homme ; une mère donne, toujours, sa vie pour son enfant.

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1284. Le néant est absolu, l’eternité est absolue ; en créant ce monde éphémère, Dieu l’a doté de la relativité du temps.

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1249Le mal de mère pour l’absence d’une mère et le mal de mer pour la présence d’une mer

Taha-Hassine FERHAT
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1113La vie n’est qu’un transit entre deux ventres : celui de la mère et celui de la terre

Taha-Hassine FERHAT
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1097. La vie est un éternel recommencement ; ma vie est unéphémère recommencement.

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1092La vie est l’art fragile de transformer l’éphémère en éternité, un souffle ã chaque instant renouvelé

Taha-Hassine FERHAT
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1093La vie est si éphémère qu’inutile

Taha-Hassine FERHAT
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1058La tendresse est ã la mère, ce que la brise est ã la mer

Taha-Hassine FERHAT
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1030La rose, fragile et éphémère, nous rappelle que la beauté véritable réside dans ce qui se fane, et que chaque instant de grâce est à chérir

Taha-Hassine FERHAT
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929    La mer, sans la mère, n’est qu’amère

Taha-Hassine FERHAT
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930    La mère du mâle craint le mal de mer

Taha-Hassine FERHAT
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931    La mère est le premier océan dans lequel nous apprenons ã nager et dont les vagues continuent de bercer nos rivages même après que nous ayons rejoint la terre ferme

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932    La mère est le silence dans lequel chaque existence trouve sa première parole, et son écho l’accompagne toujours

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933    La mère-patrie enfante l’appartenance, mais c’est dans l’exil qu’elle révèle la profondeur de ses liens

Taha-Hassine FERHAT
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846    La fille, elle est lã , toujours, pour égayer son père, lorsque sa mère oublie de le faire

Taha-Hassine FERHAT
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824    La création, l’ordre et la synchronisation de cet univers ne peuvent être fortuits : l’ephémère s’incline devant l’Eternel

Taha-Hassine FERHAT
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671    L’homme est une étincelle éphémère jaillie du vide et que son destin est de s’éteindre après avoir brièvement brillé

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646    L’existence, parenthèse éphémère dans l’infini du néant, manifeste la volonté démiurgique de révéler la toute-puissance créatrice divine

Taha-Hassine FERHAT
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651    L’harmonie des esprits, idéal éphémère, se heurte inexorablement aux dissonances inhérentes ã la condition humaine

Taha-Hassine FERHAT
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87  Le plaisir, éphémère par nature, trouve sa véritable profondeur non dans sa quête, mais dans l’acceptation sereine de son passage.

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